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Les cases des PDCV indiquent un forçage radiatif positif net (rouge; réchauffement) ou un forçage radiatif négatif net (grise; refroidissement).

Cadre conceptuel décrivant les relations entre la sécurité alimentaire, la salubrité des aliments et la santé dans un contexte de climat en évolution.

La figure illustre les prévisions relatives à la variation annuelle de la température au Canada, selon un scénario de faibles émissions (RCP 2.6) (panneau de gauche) et un scénario de fortes émissions (RCP 8.5) (panneau de droite), à court terme (rangée du haut) et à la fin du siècle (rangée du bas). Les projections sont représentées par la médiane de l’ensemble multi-modèles du Projet d’intercomparaison de modèles couplés (CMIP5). Les changements se rapportent à la période de 1986 à 2005.

La figure illustre les variations annuelles des précipitations prévues au Canada selon un scénario de faibles émissions (RCP 2.6) (panneau de gauche) et un scénario de fortes émissions (RCP 8.5) (panneau de droite), à court terme (rangée du haut) et à la fin du siècle (rangée du bas). Il s’agit de cartes et séries chronologiques de la variation moyenne prévue des précipitations (%) par année, représentée par la médiane de la cinquième phase de l’ensemble multi-modèles du Projet d’intercomparaison de modèles couplés (CMIP5). Ces variations s’appliquent à la période allant de 1986 à 2005.

Les cases oranges indiquent que le risque pour la santé est accru, les cases vertes indiquent que le risque est réduit et les cases grises indiquent que la tendance des effets sur la santé en fonction des connaissances actuelles ne peut être déterminée. Les lignes pleines et pointillées distinguent les groupes d’impacts.

La carte présente le résultat net des variations combinées de mortalité dues au froid et à la chaleur, principalement en lien avec les maladies cardiovasculaires (+2,34 % pour le pays) et respiratoires (+7,82 % pour le pays).

Les zones bleues correspondent aux régions où les précipitations seront importantes, tandis que les zones brunes correspondent aux régions où les précipitations seront très faibles, augmentant ainsi le risque de sécheresse.

Les stations sont désignées par des points bleus (station d’échantillonnage de type Hirst), rouges (station d’échantillonnage automatique) ou oranges (autre station de type manuelle).

Les zones bleues correspondent aux régions comptant plus de 10 jours de précipitations extrêmes par année, tandis que les zones brunes correspondent aux régions comptant moins 4 jours de précipitations extrêmes par année. Un jour de fortes précipitations (JFP) est un jour où tombe un total d’au moins 20 mm de précipitations. Les précipitations gelées sont mesurées selon leur équivalent liquide : 20 cm de neige sont équivalents à environ 20 mm de précipitation.

Les cases des PDCV indiquent un forçage radiatif positif net (rouge; réchauffement) ou un forçage radiatif négatif net (grise; refroidissement).

Les couleurs des cartes vont du gris au rouge foncé dénotant des concentrations de PM2,5 émanant des feux de forêt variant de 0,0 à 15,0 μg/m3.

Le tableau A montre le pourcentage de la masse terrestre canadienne connaissant des concentrations moyennes de PM2,5 émanant des feux de forêt supérieures aux seuils donnés, de mai à septembre, et le tableau B indique le pourcentage de la population connaissant des concentrations semblables les mêmes mois.

Le tableau A présente le pourcentage de la masse terrestre canadienne où les concentrations moyennes (de mai à septembre) de PM2,5 émanant des feux de forêt sont supérieures ou égales à 1 µg/m3 de 2013 à 2018. Le tableau B fait de même pour le pourcentage de la population connaissant des concentrations moyennes semblables, de mai à septembre, de 2013 à 2018. Les tableaux A et B ne font état que des provinces et des territoires dont plus de 5 % de la masse terrestre ou de la population est touché.

Les trois éléments constitutifs du risque qui se recoupent sont les aléas et le taux de contact (qui déterminent ensemble l’exposition), et la sensibilité. L’adaptation (représentée par le cercle bleu en arrière-plan) est fonction de la capacité à atténuer ces trois éléments constitutifs du risque et à y réagir. Les flèches vertes illustrent les effets directs et indirects possibles des changements climatiques.

Les trois éléments constitutifs du risque qui se recoupent sont les aléas et le taux de contact (qui déterminent ensemble l’exposition), et la sensibilité. L’adaptation (représentée par le cercle bleu en arrière-plan) est fonction de la capacité à atténuer ces trois éléments constitutifs du risque et à y réagir. Les flèches vertes illustrent les effets directs et indirects possibles des changements climatiques.

L’évolution des cas de maladie de Lyme chez l’humain est présentée dans le diagramme à barres. Il est à noter que la maladie de Lyme est devenue une maladie à déclaration obligatoire à l’échelle nationale en décembre 2009. Les données de 2009 et des années précédentes sont fondées sur la présentation volontaire de renseignements provenant des provinces et des territoires où la maladie de Lyme était à déclaration obligatoire.

Cryptococcus gattii vit sous forme de levure dans l’environnement (1), habituellement en association avec certains arbres ou sols autour des arbres. Les humains et les animaux peuvent être infectés par C. gattii après avoir inhalé des cellules de levure ou des spores déshydratées en suspension dans l’air (2), qui traversent les voies respiratoires et pénètrent dans les poumons de l’hôte (3). En raison de leur petite taille, la levure et les spores peuvent se loger profondément dans le tissu pulmonaire. L’environnement à l’intérieur du corps hôte signale à C. gattii de se transformer en sa forme de levure, et les cellules développent d’épaisses capsules en vue de se protéger (4). Les levures se divisent et se multiplient ensuite par bourgeonnement. Après avoir infecté les poumons, les cellules de C. gattii peuvent circuler dans le sang (5) — seules ou dans les cellules macrophages — et infecter d’autres régions du corps, généralement le système nerveux central (6).

Deux volets des mesures de santé publique visant à gérer les maladies infectieuses émergentes et réémergentes. Les boîtes bleues indiquent une intervention en cas d’éclosion et les boîtes oranges représentent l’état de préparation en amont. Des exemples d’activités qui peuvent être des composantes de la gestion de l’éclosion sont présentés dans les cases de couleur vert. Les lignes pointillées indiquent comment l’intervention en cas d’éclosion peut être déclenchée par la détection précoce du risque de maladie au moyen d’une approche de préparation en amont.

Ces cartes des risques mesurent l’adéquation environnementale pour les tiques vectrices de la maladie de Lyme Ixodes scapularis dans l’est et le centre du Canada à l’aide de données d’observation de la Terre approximatives pour la température (degrés-jours cumulatifs annuels supérieurs à 0 °C) et l’habitat forestier. L’adéquation environnementale est nulle là où il n’y a pas de terrain boisé (zones grises plus claires) et là où le climat est trop froid (zones bleu foncé). Dans les zones où se trouve un terrain boisé et où le climat est suffisamment chaud, le risque d’occurrence des populations de tiques varie de zones à faible risque (zones bleu pâle) à des zones à risque modéré, modéré-élevé et élevé (zones vertes, orange et rouges, respectivement). L’échelle d’adéquation pour la tique selon les conditions de température (avec des valeurs de 0 à 1 500) est obtenue à partir d’un modèle mathématique des populations d’I. scapularis. Les données d’observation de la Terre servant à établir cette carte n’étaient pas disponibles pour certaines parties du Nunavut et des Territoires du Nord-Ouest (zones gris foncé).

Indice d’exposition des sources d’eau (IESE) de l’Alberta (a) et indice d’exposition des bassins versants forestiers aux feux de forêt (b) définis par Robinne et coll. (2019). Dans les deux figures, une valeur plus élevée indique un niveau d’exposition plus élevé. L’IESE est un indice spatial qui mesure le niveau d’exposition d’une source d’eau en fonction de la disponibilité de l’eau et de la demande en eau dans un bassin versant, du couvert forestier du bassin versant et du risque de feu de forêt dans cette zone.

Cadre conceptuel décrivant les relations entre la sécurité alimentaire, la salubrité des aliments et la santé dans un contexte de climat en évolution.

Cadre conceptuel décrivant les relations entre la sécurité alimentaire, la salubrité des aliments et la santé dans un contexte de climat en évolution.